Trouver une colocation à Londres : les sites web

Trouver un logement à Londres n'est pas chose aisée.... Loi de l'offre et de la demande oblige...

Pour trouver une chambre, le plus simple est encore de faire ses recherches sur Internet.

Pour ça je me concentre sur ces sites principalement :

1. Spareroom : une des références
2. Easyroomate : énormément d'annonces
3. Flatshare : idem
4. Moveflat : très pratique la carte GoogleMap avec "My big map"
5. Gumtree : des annonces en tout genre, beaucoup de logements
6. Le Loot : version numérique d'un journal d'annonces. Une bonne chose est de se procurer la version papier sur place.
7. Recherche colocation : peu d'annonces mais très frenchy..

Seul problème, soit celui qui propose le logement, soit celui qui cherche doit avoir un compte "premium" (c'est à dire que la personne à payé une petite somme auprès du site) avec certains sites. Sans quoi les coordonnées de contact seront masquées.....

Malgré ça il y aura un bon nombre d'annonces avec coordonnées consultables.

Conseil :

Créer un compte (simple) afin de pouvoir filtrer facilement les résultats de recherches, et de mettre à disposition des autres votre profil.

A noter que j'ai trouvé ma colocation sur Spareroom...

Trouver le bon billet d'avion pour Londres

Londres a plusieurs aéroports, desservis par plusieurs compagnies, notamment EasyJet, Ryanair ou encore British Airways. Pour trouver le billet d'avion au meilleur prix, j'utilise par exemple le service Kelkoo qui permet de comparer les prix des billets d'avions d'un grand nombre de voyagistes.
Remarque : penser à trier la liste par ordre croissant pour voir apparaître les billets les moins cher lorsque les résultats apparaissent.

Livres, guides sur Londres

Pendant mon séjour, j'ai utilisé le célèbre Guide du Routard pour découvrir quelques endroits de Londres. Il permet au début d'appréhender plus facilement la ville (grande, très grande...), et plus tard de découvrir des lieux particuliers voir insolites. Un plan de la ville est intégré dans le livre. Je conseille vivement cet achat qui permet également de trouver un bon restaurant ou une bonne auberge de jeunesse....

Eventuellement, pour ceux qui souhaitent avoir une carte détaillée de la ville (celle du guide du routard reste limitée), je conseille le A-Z London, le best-seller que tout livreur londonien possède...

Les soldes à Londres

Les soldes sont moins réglementés qu’en France, les magasins sont plus où moins libres (du moins certains je crois).
Les 2 périodes principales sont les soldes d’été (Juillet) et les soldes d’hiver qui commencent après Noël.

Shopping : Harrod's

Il s’agit d’un très grand magasin proche de la station de Knightsbridge (Piccadilly line).

On va plus dans ce magasin pour voir que pour acheter. Tout est luxe, tout est beau, tout est alléchant. Sur plusieurs étages il y a possibilité de trouver un peu de tout, de la Rolex, au fromage français en passant par un petit chaton ou encore un lustre pour décorer son salon.

Encore une fois c’est vraiment un magasin à voir au moins une fois si on est de passage à Londres.

Voir sur Google maps

Harrod's sur Wikipédia

Shopping : Westfield shopping center

Le plus grand centre commercial de Londres se trouve à côté des bureaux de la BBC entre les stations de métro de White city et Shepperd’s Bush (Central line).

Voir sur Google Maps

Shopping : Oxford street et Regent street

Les 2 grandes rues d’Oxford street et Regent street au centre de Londres sont pratiquement occupées uniquement par des magasins. J’y passé plusieurs après-midi... Je conseille de commencer depuis la station métro de Marble Arch (Central line), et de se diriger en sortant de la station à gauche. Une première étape, le magasin Primark, tout simplement envahi chaque week-end, où on trouve des vêtements à des prix imbattables (au détriment de la qualité tout de même), il y a vraiment de quoi faire de bonnes affaires.

Parenthèse : Petite vidéo de l'ouverture du magasin Primark sur Oxford Street :D



Le plus simple est encore de faire un tour dans le maximum de magasins pour comparer, fuiner, en continuant sur Oxford Street. Il y a de tout : vêtements, multimédia, etc...
Une autre étape à faire dans cette rue est le centre commercial Selfridges, plutôt haut de gamme mais ça vaut le coup d’oeil.

Une fois arrivé au croisement avec Regent street (au niveau de la station de métro Oxford Circus), il n’est pas mal de faire un petit tour dans le magasin Nike ou encore Topshop (bon marché).
Après ça, direction Regent street à droite. Sur cette rue, encore des boutiques et également le temple du jouet : Hamley’s, vraiment à voir pour retomber en enfance. On y trouve une peluche de gorille pour la modique somme de £1000 pour l’anecdote.

Au bout de Regent street se trouve la grande place de Piccadilly Circus et ses écrans géants. Ici se trouve un grand magasin de sport, Lillywhites, où là encore les prix sont assez hallucinants.

Nager à Londres

Il y a environ 560 piscines à Londres dont la moitié tenues par les municipalités de quartier, les autres par les centres de fitness privés. Autant dire qu’il y a le choix...

Une bonne adresse pour les piscines publiques : le site de Greenwich Leisure Limited (GLL), qui contrairement à son nom, gère environ 70 centre de loisirs et piscines publiques sur tout Londres. C'est sur ce site que j'ai trouvé ma piscine préférée :)

Pour trouver la plus proche le plus pratique reste Google maps et faire une comparaison grâce aux sites Internet des établissements. Il suffit de faire une recherche avec les mots clés "Swimming pool, London" par exemple. Ou encore "leisure centre"... Attention à ne pas confondre avec les adresses de fabricants et vendeurs de piscine ........
A voir également dans les centres de fitness, Virgin par exemple (plutôt cher).

Les piscines publiques sont moins chères et ne nécessitent pas d’abonnement (bien qu’on peut également y en prendre un), j’ai privilégié celles-ci. Je me rendais dans une piscine à 15 minutes en Tube de chez moi, celle-ci était propre au même format qu’en France : 5 lignes de 25 mètres.

J’avais accès au tarif étudiant grâce à ma carte étudiante ISIC, c’est à dire £1,85 (£3,60 sans réduction). Il faut ajouter 20p pour avoir un casier, non remboursé.

Les coiffeurs à Londres

On trouve facilement un “hairdresser” sur Londres. En ce qui me concerne la coupe me coûtait £7 pour du bon travail. Vous pouvez également trouver des barbiers qui font les coupes homme... Pour ces dames cela coûtera un peu plus cher.

Pour les styles très originaux, il est possible d’aller à Camden Town (Camden Market plus précisément), les coiffeurs sont bien plus imaginatifs.

Détail pour ceux qui auraient du mal avec le vocabulaire, "Unisex" veut dire que le salon coiffe aussi bien les hommes que les femmes.

Rencontrer des anglais à Londres

Les anglais sont plutôt ouverts, plus chaleureux que les râleurs français. Une fois à Londres il n’était pas difficile de tisser des liens avec des anglais, en premier lieu grâce à la colocation et ensuite grâce au travail.
La relation entre collègues est différente outre-manche, il est courant d’aller boire une “pint” le vendredi soir dans un pub proche de l’entreprise ou au centre ville. C’est vraiment agréable et permet de parler du travail (un peu) et d’autres choses (beaucoup), ce qui renforce les liens et apporte une bonne ambiance de travail.

Sinon même seul dans un pub, le houblon et le statut de français brise rapidement la glace pour entamer de longue conversation.

Messieurs, sachez que les français ont plutôt la cote auprès des anglaises, un petit passage en boîte de nuit créé rapidement des liens... Sortez votre béret, votre baguette et surtout votre accent “so cute”. Mesdames les anglais craqueront en entendant votre accent et en relevant votre raffinement (paroles d’anglais).

Changer de l'argent pour aller au Royaume-uni

Malheureusement l’€uro n’a pas encore conquis le coeur de la reine et du Royaume-Uni. La devise utilisée est la livre stirling, pound en anglais symbolisée par le signe £. Les décimales, centimes, sont désignées par le penny, pence au pluriel.

Détail, on écrit £10 et non pas 10£. Souvent les anglais utilisent à l’oral le mot “quid” pour remplacer le mot “pound” et la lettre “p” pour remplacer le mot “pence”, ou encore “grand” pour £1000.

Pour changer ses € en £ de nombreuses solutions existent. On ne peut rien changer au taux de change, en revanche il faut jouer sur la commission que le bureau de change retient pour perdre le moins d’argent.

La première solution est de changer l’argent en France auprès de votre banque. Par exemple la Caisse d’Epargne peut faire l’échange sans prise de commission.

Autre solution économique, repérer un bureau de poste en Angleterre (“Post Office”), ceux-ci font également le change sans commission.

Dernière solution, il y a des bureaux de change partout dans la ville, les gares, les aéroports et même au fond des boutiques de souvenirs. Dans ce cas, les taux sont moins avantageux, ceux-ci masquant la commission prise par le bureau.
Si vous êtes amenés à faire l’échange avec ces bureaux, il faut TOUJOURS négocier. Une fois que vous avez présenté la somme que vous voulez échanger, la personne en face de vous fera un calcul pour savoir combien de pounds vous serons donnés en retour. Lorsque celle-ci vous présente la somme, prenez un air déçu ou surpris selon vos talents d’acteur et marquez un blanc. Expliquez ensuite vous vous attendiez à plus. Après cela la personne devrait refaire un calcul et comme par magie la somme proposée sera devenue plus importante, le bureau préfère gagner moins d’argent sur la commission que pas du tout. Si l’agent reste sceptique face à votre comédie, rangez votre argent et allez voir ailleurs, les bureaux de change sont partout...

Appeler depuis l'Angleterre et vers l'Angleterre

Pour appeler un numéro anglais depuis la France il faut ajouter l’indicatif 44 : +44 ou 0044.
Pour appeler un numéro français (y compris un téléphone portable français) depuis l’Angleterre il faut ajouter l’indicatif 33 : +33 ou 0033.
Dans les 2 cas enlever le premier 0 du numéro sans indicatif à appeler.

Les prises de courant en Angleterre

Les prises de courant sont différentes en Angleterre. Celles-ci, à 3 broches, sont équipées d’un fusible (limite à 13 ampères), en revanche le voltage est le même qu’en France.
Pour utiliser ses appareils électriques français en Angleterre il faut donc utiliser un adaptateur comme ci-dessous.

On les trouve un peu partout, en premier lieu dans les aéroports.
Mais je déconseille de les acheter dans les Duty-Free, je conseille plutôt d’attendre d’être dans un supermarché ou dans une épicerie/quincaillerie de quartier pour en acheter, cela coûtera bien moins cher environ £2 ou £3. Ou encore de le commander sur Amazon comme proposer plus haut...

Les taxis de Londres

Un autre moyen de déplacement pratique mais cher, c’est le taxi. Ils sont disponibles 24h/24. Il y a 2 types de taxis à Londres : les black-cabs (les véritables taxis londoniens) et les minicabs.

Black-cabs

Pour prendre un black-cabs il faut d’abord en repérer un dont la plaque “Taxi” située sur son toit est allumée, puis lui faire signe de la main. Il est également possible d’en prendre un dans les quelques gares routières ou encore de le réserver à l’avance.

A vous d’indiquer où vous souhaitez aller, vous pouvez lui demander une estimation du coup de la course pour ne pas avoir de surprise. La coup de la course est le même que vous soyez seul ou 4... Donc si vous êtes plusieurs, en divisant la note, cela peut être un moyen bon marché.

Très pratique pour rentrer tard dans la nuit, évitant d’attendre un bus et d’être à la limite de l’hypothermie...

MinicabsCe type de taxi est en fait un taxi que vous devez obligatoirement réserver à l’avance soit par téléphone soit en se rendant dans les bureaux qui gèrent ces taxis. Il s’agit de taxis privés mais officiels qui travaillent en collaboration avec la TFL. Leurs carrosseries est souvent de type berline ou break.

Attention, il se peut que ces taxis vous abordent dans la rue ou en sortie de pubs/boites pour vous proposer une course sans réservation, ce qui est illégal ! Seul les black-cabs peuvent effectuer une course non-réservée.
Si vous prenez un minicab non réservé, vous prenez le risque de prendre un taxi dont le conducteur n’a pas la licence, idem pour la voiture. De plus le trajet ne serait pas enregistré, ce qui pourrait empêcher de remonter jusqu’au conducteur en cas d’accident grave.

Toutes les infos sur les taxis, les tarifs sont disponibles à cette adresse :
http://www.tfl.gov.uk/tfl/gettingaround/findaride/default.aspx

Prendre le bus à Londres

Bien que le réseau du métro londonien soit très développé, selon le lieu de départ ou d’arrivée il peut être plus pratique ou nécessaire de prendre le bus (avec ou sans étage !). A savoir que Londres est très (trop ?) bien déservie en bus, il y a parfois des arrêts distants de moins de 50 mètres pour la même ligne ce qui fait parfois sourire...

L’utilisation du bus nécessite un petit apprentissage au début... Pour se rendre quelque part sans trop savoir quel bus prendre le plus facile est dans un premier temps d’utiliser l’outil proposé sur le site de la TFL...
Dans la rue, il faut se rendre dans l’arrêt de bus le plus proche (il y en a toujours un visible en général...). Les arrêts situés dans la même rues ne vont pas tous déservir la même ligne de bus. Dans chaque abri on retrouve une carte détaillant le quartier dans un rayon de plusieurs centaines de mètres ainsi que toutes les lignes (et leurs arrêts) qui passent dans le périmètre. Il y a également une liste alphabétique des arrêts déservis par ces lignes.
Donc pour se rendre à un endroit particulier, il suffit de repérer l’arrêt de bus à atteindre dans la liste alphabétique proposée. Pour cette destination, la ligne à prendre ainsi que l’arrêt de bus de départ sont indiqués. Chaque arrêt est identifié par une lettre qu’on retrouve affichée au dessus de l’abri. Il faut ensuite repérer cet arrêt de départ sur la carte (par chance vous y êtes, sinon il faut s’y rendre à pied...). Une fois au bon arrêt de départ il n’y a plus qu’à attendre le bus correspondant à la bonne ligne... Les heures approximatives de passages sont données.
Si vous êtes en possession de l’Oyster card, il faut passer sa carte uniquement à la montée dans le bus. Il est possible sur certaines lignes (impossible sur d’autres, à fort trafic par exemple) de payer en liquide mais le prix est plus élevé. Quelque soit la distance parcourue avec un bus sur une ligne les prix sont les suivants :

• Oyster card : £1,35
• Liquide : £2,30

Ensuite il ne faut pas s’endormir, et être attentif pour savoir si le prochain arrêt est le bon, si oui il faut l’indiquer au conducteur grâce aux boutons disposés dans le bus. La sortie se fait par l’arrière du bus. Il est parfois nécessaire de prendre plusieurs lignes de bus pour arriver à destination sachant qu’à chaque changement de ligne il faut payer (à chaque montée le bus pour être clair...).

Le Tube cessant de fonctionner la nuit, bien souvent le bus est le seul moyen pour aller au chaud sous la couette avant que le soleil ne se lève. Les bus de nuit sont moins fréquents qu’en journée, certaines lignes de jours ne fonctionnent pas du tout la nuit, et d’autres ne fonctionnent que la nuit (par exemple la ligne N207, N pour Night..., qui me ramenait chez moi). A savoir que pour aller dans le centre de Londres le week-end, je mettais environ 25 minutes en Tube et 2h voir plus pour rentrer chez moi en bus de nuit... Avec de l’entraînement !
L’ambiance des bus de nuit est particulière, les gens qui sortent de boîtes de nuit ou bars continuent parfois la fête dans le bus, beaucoup accusent le coup et s’endorment, certains sont malades... Tout ça aux côtés des personnes qui vont travailler tôt. Au niveau sécurité je n’ai pas eu de mauvaise expérience et je n’ai jamais assisté à des actes de violences....

Le métro de Londres, le Tube

C’est définitivement mon moyen de transport préféré, rapide, généralement sans surprise, le plus vieux réseau de métro d’Europe respire l’ambiance de Londres, c’est un petit monde souterrain, une fourmilière qui fait parti de l’identité de Londres...

Le Tube est en fonctionnement à partir de 5h30 environ en semaine (6h-6h30 les WE) jusqu’à 00h30 environ, en fait cela dépend de la ligne et de la station.
Les lignes de métro sont différenciées par un nom et une couleur, la Central Line est représentée par la couleur rouge par exemple. La plupart des lignes traversent Londres du nord au sud ou d’ouest en est, seule la Circle Line (en jaune) est ... circulaire.

Se repérer dans le Tube est relativement simple. Par exemple pour la Central line qui traverse Londres d’ouest en est, si je veux aller vers l’ouest je dois me rendre sur la plate-forme Westbound, si je veux aller vers l’est je dois me rendre sur la plate-forme Eastbound. Pour les lignes verticales les directions sont Northbound et Southbound... Certaines lignes ont plusieurs terminus pour une même directions, il faut donc être attentif et ne pas prendre le mauvais train. Les agents de la TFL sont très présents dans les couloirs du métro et toujours prêts à vous guider, il ne faut pas hésiter au début si on se sent un peu perdu...

Un outil pratique proposé par Google Maps : Lorsque vous observez Londres avec Google Maps, cliquez en haut à droite de la carte sur Extras --> Transports en commun, la carte du Tube va alors se superposer sur la carte de Londres comme ceci.

Pour le paiement du trajet, il faut faire passer son Oyster card (ou son ticket) sur les bornes accolées aux portiques à l’entrée dans la station de départ ET à la sortie de la station d’arrivée (arrivée finale, pas besoin de passer sa carte à chaque changement de ligne).

Seul petit inconvénient du métro londonien, les travaux ! Chaque week-end la TFL planifie des “engineering works”, rénovations, maintenances sur le réseau du Tube qui en a grandement besoin vu son âge, ce qui veut souvent dire que des stations, des portions de lignes sont complètement fermées. Chaque week-end d’autres lignes sont concernées pour ne pas léser toujours les mêmes usagés. En général il suffit de modifier quelque peu son itinéraire vu la densité du réseau ou bien d’utiliser le bus (des bus de remplacements sont mis en place).

Petit conseil, s'abonner à la newsletter de la TFL pour recevoir chaque semaine un récapitulatif des travaux du week-end à venir.

Oyster card

Le premier réflexe à avoir une fois arrivé à Londres (après avoir fait un saut au premier Starbucks Coffee venu) devrait être de se rendre à un guichet fournissant l’Oyster card (carte huître, moui...).

Vous les trouverez dans les gares, dans les stations de métro (appelé Tube), et certains magasins affiliés, du moment qu’il y a un agent (ou un affilié) de la TFL qui vous fait face... En échange de cette carte une caution vous est demandé (£3). Il est conseillé de l’enregistrer sur le site de la TFL ou grâce à un formulaire à rendre dans un guichet pour éviter tout problème en cas de perte ou vol.

Cette Oyster card fonctionne comme une carte Monéo. On ajoute une certaine somme à cette carte, et on peut ensuite utiliser ce crédit dans les transports londoniens.

Il est possible d’appliquer un abonnement à cette carte, tout dépend de la fréquence de déplacement, il faut trouver l’offre adaptée à ses besoins.

Personnellement je rajoutais de l’argent dessus régulièrement selon ma consommation (méthode appelée Top-up Pay as you go), soit grâce au site Internet de la TFL, soit directement aux guichets dans les stations (liquide ou CB) ou encore grâce aux guichets automatiques (le plus pratique).

A nouveau le site de la TFL est très bien fait pour obtenir toutes les informations nécessaires (traduit aussi en français pour ceux qui en auraient besoin).

La TFL (Transport for London)

Un petit mot sur la TFL (Transport for London), l’équivalent de la RATP pour Paris (avec moins de grèves). Cette institution gère les infrastructures et les moyens de transport de la ville, comprenant le Tube, les bus, les taxis, les bateaux qui traversent la Tamise, les pistes cyclables et j’en oublie.
Leur site est une mine d’informations incontournable, je le consultais régulièrement comme la plupart des londoniens qui utilisent les transports en commun.
L’adresse : www.tfl.gov.uk. On y retrouve les cartes des réseaux de métro, de bus, un planificateur d’itinéraire (très utile pour le bus), la possibilité d’ajouter de l’argent sur son Oyster card, des informations sur les taxis, etc...

Se déplacer dans Londres

Les londoniens passent énormément de temps dans les transports, pour une simple et bonne raison, Londres est gigantesque, (10 fois plus grand que Paris). Ce déplacement a un coût si vous utilisez les transports régulièrement, par exemple le budget moyen si vous prenez le métro (appelé Tube) tous les jours s’élève à £100 par mois.

D’où l'intérêt de bien choisir l’emplacement de son logement. Il est possible de réduire la facture du transport, en allant au travail à pied si le logement n’est pas trop éloigné. Londres est une grande ville, mais le réseau de transport est adapté.

Trouver un stage à Londres (Secteur Informatique)

Le travail ne manque pas à Londres, il suffit de jeter un oeil sur les sites dʼoffres dʼemploi pour
sʼen rendre compte.
Dans le domaine de lʼinformatique, il y a énormément dʼoffres à Londres dans
le secteur du développement de sites Internet notamment, les “web agencies” y sont très nombreuses.

Les 2 méthodes qui semblent les plus efficaces sont selon moi :

• Consulter la liste (si elle existe) des entreprises qui ont déjà reçues des stagiaires de votre école
• Le bouche à oreille 

Jʼentends par bouche à oreille : si vous connaissez quelquʼun qui travaille ou qui connaît
quelquʼun qui connaît quelqu'un (etc...) qui travaille dans la ville voir lʼentreprise qui vous intéresse,
glissez un mot à votre contact à propos du stage que vous souhaitez réaliser, le bouche à oreille
fera le reste, du moins jusquʼà un certain point...

Sinon il y a énormément d'offres sur les sites d'offres d'emploi comme Monster. Une petite recherche avec les mots clés "junior", "work experience" ou "internship" et un filtrage sur la ville de Londres retourne toujours un bon nombre de résultats.